Thoughts

“All of our liturgical hymns are instructive, profound, and sublime. They contain the whole of our theology and moral teaching, give us Christian consolation, and instill in us a fear of the Judgment. He who listens to them attentively has no need of other books on the Faith.”

— Saint Theophan the Recluse

« L’invisible existe dans le visible, il y est contenu, il est entré sur le concret par le symbole. À proprement parler, le symbole est quelque chose qui appartient à ce monde et qui a pourtant un contenu surmondial : c’est une certaine liaison du transcendent et de l’imminent, un pont entre le ciel et la terre, un ensemble divinement créé, une unité théanthropique. »

— Serge Boulgakov, L’Orthodoxie

« Comment ne pas ressentir que tu es un avec tous les êtres ? »

— Saint Porphyre

« Ainsi donc, dans L’Eglise, l’homme devient un être universel, et sa vie en Dieu l’unit à la vie de la création entière par les liens de l’amour cosmique. »

— Serge Boulgakov, L’Orthodoxie 

“Without Christ, the heart is empty. Only in God, Who alone is the way, the truth, and the life (Jn. 14:6), does a man find peace and discover the meaning of his life.”

— Schema-Archimandrite Iliy (Nozdrin)

i wish i could do more - i wish i had a thousand hands and a thousand eyes and a thousand years and army of angels and a thousand stars that lit the sky so bright that the night would never come and that our sleepless dreams would fill this world

“Do not have Jesus Christ on your lips and the world in your heart.”

— Saint Ignatius of Antioch

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"The amount of serendipity that will occur in your life, your Luck Surface Area, is directly proportional to the degree to which you do something you’re passionate about combined with the total number of people to whom this is effectively communicated." – Jason Roberts

« Bénis soient ceux qui deviennent familiers de cette activité divine, car par elle ils viennent à bout de toutes les tentations des mauvais esprits, tout comme David vint à bout du fier Goliath. De cette manière, ils étouffent les désirs désordonnés de la chair, tout comme les trois jeunes gens étouffèrent les flammes de la four-naise. Par le biais de la prière intérieure les passions sont domptées, tout comme Daniel dompta les bêtes sauvages. Elle fait descendre la rosée de l'Esprit saint dans le cour, tout comme les prières d'Élie firent descendre la pluie sur le mont Carmel. Cette prière intérieure atteint le trône même de Dieu où elle est métamorphosée en coupes d'or et à la manière d'un encensoir diffuse une douce fragrance devant le Seigneur, tout comme Jean le Théologien le vit dans sa révélation: "Les quatre vivants el vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'Agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or pleines de parfums, les prières des saints" (Apocalypse 5,8). Cette prière de l’esprit est la lumière qui illumine l’âme de l’homme et adoucit son cœur
en l'embrasant du feu de l'amour pour Dieu. Elle est la chaine qui réunit Dieu à l'homme et l'homme à Dieu. Oh, rien ne peut être comparé à la grâce de la prière intérieure ! Elle maintient
l'homme dans une conversation permanente avec Dieu. Ô œuvre si merveilleuse et extraordinaire ! Si, par votre corps, vous êtes au milieu des gens, en esprit vous conversez avec Dieu. »
— Saint Grégoire Palamas

« Que toute personne pieuse répète sans cesse ce Nom comme une prière dans son esprit et avec sa langue. Qu'elle se contraigne à le faire toujours, lorsqu'elle est debout, assise, en déplacement, au repos, lorsqu'elle parle ou quoi qu'elle fasse. Alors, cette personne trouvera la paix et la joie, comme tous ceux qui l'ont pratiqué le savent d'expérience. Cette activité s'adresse à ceux qui sont dans la vie mondaine comme aux moines qui traversent des tourments. Chacun doit s'évertuer à pratiquer cette prière, quand bien même ce ne serait que pendant un laps de temps limité. Tous, clercs, moines et laïcs, doivent prendre cette prière pour guide et la pratiquer chacun selon ses capacités. » 
— Syméon, archevêque de Thessalonique.

“The Divine Liturgy is not an act of personal piety. It is not a prayer service. It is not merely one of the sacraments. The Divine Liturgy is the one common sacrament of the very being of the Church itself. It is the one sacramental manifestation of the essence of the Church as the Community of God in heaven and on earth. It is the one unique sacramental revelation of the Church as the mystical Body and Bride of Christ.”

— Thomas Hopko, The Orthodox Faith (Volume 2, Worship)

« Dieu a mêlé son sang au notre pour faire de tous les hommes un seul être avec lui. »

— Saint Jean Chrysostome

“If we take care of our body, nourishing, clothing, and protecting it, then how can we not take care of our soul?”

— Schema-Archimandrite Iliy (Nozdrin)

« L'art, c'est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art. »



— Robert Filliou

If God does not leave a blade of grass, a flower, or a small leaf of a tree without His good providence, will He leave us? 
— Saint John of Kronstadt 

“You must not be greatly troubled about many things, but you should care for the main thing — preparing yourself for death.”

— Saint Ambrose of Optina

"If I read a hundred prayers in the silence of Mount Athos a day and you, in the noise of the city, with work and family responsibilities, read three prayers, then we are in the same position." —St. Ephraim of Katounakia

“How do we move forward, considering the stories we tell ourselves?
One of the best strategies is to lower the stakes.
We tend to think that what we're making is the most important thing in our lives and that it's going to define us for all eternity. Consider moving forward with the more accurate point of view that it's a small work, a beginning. The mission is to complete the project so you can move on to the next.”

— Rick Rubin, The Creative Act

« Jusque-là l'esprit et le sensible, si distincts entre eux, restaient dans leurs propres limites et portaient en eux-mêmes la majesté du Verbe Artisan du monde; ils louaient silencieusement la grandeur de l'œuvre et ils en étaient les hérauts répandus partout. Il n'y avait pas encore la fusion des deux ni le mélange des contraires, qui sont le signe distinctif d'une sagesse plus grande et de la magniticence divine à l'égard des êtres créés; toute la richesse de la bonté de Dieu ne s'était pas encore signalée. Alors, voulant manifester tout cela, le Verbe Artisan organise aussi un être vivant composé des deux, je veux dire la nature visible et la nature invisible: c'est l'homme. Il tire le corps de l'homme de la matière déjà créée auparavant, et il prend en Lui-même une vie qu'il met dans l'homme, c'est-à-dire une âme spirituelle et une image de Dieu - le récit biblique le sait; puis cet homme, un second monde, grand dans sa petitesse, Il le place sur la terre tel un autre ange, un adorateur formé d'éléments divers, un contemplateur de la création visible, un initié de la création invisible, un roi de ce qui est sur la terre, un sujet de ce qui est en haut, un être terrestre et céleste, éphémère et immortel, visible et intelligible, intermédiaire entre la grandeur et la bassesse, à la fois esprit et chair. »

— Saint Grégoire de Nazianze, Discours

“Thus, in Christ, all is fulfilled and accomplished. In him the entire sacrificial system of the Old Testament, which is itself the image of the universal striving of men to be worthy of God, is fulfilled. All possible offerings are embodied and perfected in the offering of Christ on the Cross. He is the offering for peace and reconciliation and forgiveness. He is the sacrifice for supplication, thanksgiving and praise. In him all of men's sins and impurities are forgiven. In him all of men's positive aspirations are fulfilled. In him, and in him alone, are all of men's ways to God, and God's ways to men, brought into one Holy Communion. Through him alone do men have access to the Father in one Holy Spirit (Eph 2.18; Also Jn 14, 2 Cor 5, Col 1).”

— Thomas Hopko, The Orthodox Faith (Vol. 2)

“The life of a man who lives in harmony with God maintains a balance of all his powers—both spiritual and physical. No matter how much the whirlwind of work may spin us around, we come to All-Night Vigil on Saturday evening and Liturgy on Sunday morning and we have peace and calm in our souls again—especially if we’ve confessed and communed.”

— Schema-Archimandrite Iliy (Nozdrin)

“A dog is better than I am, for he has love and does not judge.”

— Abba Xanthios

“A small but persistent discipline is a great force; for a soft drop persistently hollows out even a rock.”

— Saint Isaac the Syrian

“If you have an idea you're excited about and you don't bring it to life, it's not uncommon for the idea to find its voice through another maker. This isn't because the other artist stole your idea, but because the idea's time has come.”

— Rick Rubin, The Creative Act

« À travers le ciel. la terre et la mer, à travers le bois et la pierre, à travers toute la création visible et invisible, je vénère le Créateur, Maître er Créateur de toutes choses. Car la création ne vénère pas le Créateur directement et par elle-même, mais c'est par mon intermédiaire que les cieux racontent la gloire de Dieu, par mon intermédiaire que la lune adore Dieu, par mon intermédiaire que les étoiles Le glorifient, par mon intermediaire que les eaux et les averses de pluie, la rosée et toute la création, vénèrent Dieu et Lui rendent gloire. »

— Saint Léonce de Néapolis

« “Le starets dit au pèlerin que si on dit tout le temps cette prière - il suffit de la dire avec ses levres pour commencer - quelque chose finira par arriver, la prière deviendra auto-active. Quelque chose arrive en effet au bout d'un moment. Je ne sais pas quoi, mais quelque chose se passe et les mots se synchronisent avec les battements du cœur de celui qui les prononce et on prie vraiment sans s'arrêter. Ce qui a un effet mystique formidable sur toute la personne. Je veux dire que c'est là le plus grand intérêt de la chose. On la fait pour purifier tout ce qu'on pense et pour avoir une idée et une vision nouvelles de tout." Lane avait fini de manger. Maintenant, Franny s'étant de nouveau interrompue, il se laissa aller en arrière sur sa chaise, alluma une cigarette et observa son visage. Elle paraissait encore très perdue dans la contemplation de quelque chose, loin derrière l'épaule de Lane et elle semblait à peine consciente de sa présence.

"Mais ce qu'il y a de merveilleux, c'est que, quand on commence à le faire, il n'y a même pas besoin d'avoir la foi dans ce qu'on fait. Même si on se sent très perplexe au sujet de la méthode, ça n'a pas d'importance. Je veux dire qu'on n'insulte personne. En d'autres termes, personne ne vous demande de croire quoi que ce soit au début. Il n'y a même pas besoin de penser à ce qu'on dit, selon le starets. Mais ce qu'il faut c'est la quantité. Puis, plus tard, la quantité se change en qualité. Par sa propre force ou par quelque pouvoir mystérieux. Il dit, le starets, que n'importe quel nom de Dieu, n'importe quel nom quel qu'il soit, a un pouvoir qui lui est propre et que ce pouvoir se met a agir quand on a commencé à prononcer le nom.” »

— Explication des Récits d'un Pelerin russe que donne Franny Glass à son petit ami dans le roman de J.D. Salinger, Franny et Zoey

« La pensée représente une force et une puissance énormes. Ell exerce une influence non seulement sur les êtres raisonnables et le monde animal, mais aussi sur le monde végétal et tout ce qui existe. Si nos pensées sont paisibles, douces et sereines, elles apportent la paix à nous-mêmes et à tous ceux qui nous entourent, elles irradient autour de nous.
Nos pensées se réalisent; elles représentent une force considérable. Aussi nos pensées doivent-elles être élevées et nobles. Car nous irradions, nous sommes une centrale de pensées incroyablement puissante, réceptrice et émettrice. Nos pensées agissent de façon incroyable. Les savants ont découvert que nos pensées agissent non seulement sur les êtres doués de raison et le monde animal, mais aussi sur le monde végétal, qui possède son propre système nerveux.
Notre vie est à l'image de nos pensées. Si nos pensées sont calmes, pacifiques, douces, paisibles, humbles, la paix règne en nous. Cela irradie de nous, ce qui influence le système nerveux de chacun, qu'il appartienne au monde humain ou animal ou végétal. 
La perfection de la vie chrétienne, comme l'affirment tous les Saints Pères, est l'humilité extrême. L'humilité extrême signife la perfection de la vie humaine. Toute âme humble et douce nourrit des pensées paisibles et tranquilles, pleines d'amour et de bonté, qui irradient non seulement les êtres vivants, mais aussi les choses. Nos pensées représentent une énergie énorme en nous et c'est pourquoi notre existence est à l'image des pensées qui nous occupent.
Nos pensées exercent une influence non seulement sur nous-même, mais aussi sur ce qui nous entoure: si nos pensées sont paisibles et tranquilles, elles ont une influence bénéfique sur le système nerveux de tous les êtres raisonnables vivants, mais aussi sur les animaux et les plantes. Le monde végétal ressent nos pensées. J'ai été impressionné de voir que nombre d'études ont déjà établi que le monde végétal ressent nos pensées et attend que nous fassions preuve à son égard d'attention et d'amour. »

— Starets Thaddée

“Active play and experimentation until we’re happily surprised is how the best work reveals itself.”

— Rick Rubin, The Creative Act

Before it’s too late, let go of resentment and embrace the grace God freely gives.

« Aussi ne peut-il y avoir de définition exhaustive et satisfaisante de l’Eglise. « Viens et vois » (Jn. 1:46) : l’Eglise ne peut être connue que par voie d’expérience, de grâce, en participant à sa vie. Avant de tenter de la définir de l’extérieur, il convient donc de prendre conscience de l’Eglise dans sont être mystique, qui est à la base de toute détermination de l’Eglise, mais qui les déborde toutes. Dans son essence, théanthropique, l'Eglise relève du monde divin; elle est en Dieu, et c'est pourquoi elle existe aussi dans le monde et dans l'histoire de l'humanité. Elle s'y manifeste dans l'être temporel : aussi, en un certain sens, a-t-elle un commencement, un développement et une histoire. Toutefois, si l'on ne la considère que dans son devenir historique et si, partant, on ne se la représente que comme l'une des sociétés terrestres, on passe à côté de ce qui en fait la singularité, de ce qui est sa nature, selon laquelle l'éternel se manifeste dans le temporel et l'incréé dans le créé.

L'essence de l'Eglise est la vie divine qui se manifeste dans la vie créée; c'est la deification du créé, opérée par la puissance de l'Incarnation et de la Pentecôte. Bien qu'elle constitue la plus haute réalité et que ceux qui y participent en aient une certitude évidente, cette vie est spirituelle, elle est celée dans « l'homme secret», dans la « cellule» de son cœur; en ce sens, elle est mystère et sacrement. Elle dépasse la nature ou le monde, encore qu'elle soit compatible avec la vie dans ce monde. »

— Serge Boulgakov, L’Orthodoxie

« L'envie, qui ne peut jamais trouver de satisfaction dans le domaine matériel, car elle est en permanence réanimée par de continuelles nouveautés ou par les possessions des autres (parmi lesquels il y en a toujours qui ont davantage), substitue l'indéfinité du monde matériel à l’infinité du monde spirituel qui a
pour objet l’Infini Lui-même, seul capable de satisfaire le désir sans fin de l’homme. »

— Jean Claude Larchet, Les fondements spirituels de la crise écologique 

“Worldly stress is the result of worldly happiness, of worldly pleasures and self-indulgence. Educated externally and being full of anxiety, hundreds of people (even young children) are driven to psychoanalysis and psychiatrists. New psychiatric hospitals are being built and young psychiatrists go on for post-graduate studies. Many of them do not even believe in God or accept the existence of the soul. How can these people help the human soul when they themselves are full of anxiety? How can one feel truly comforted if he does not believe in God and in the true and eternal life after death? When man grasps the deeper meaning of this true life, stress goes away, divine consolation comes and he is healed... The answer to our anxiety is not drugs, alcohol, tranquilizers or psychiatric treatment. It will not be cured by Yoga or some new age or eastern meditation practice. The problem is that we have lost God as the center of our lives. Once we make our love of God the primary focus of our lives and allow His grace to work though us, then no matter what circumstance we encounter in life we will be comforted and embraced in His love. All anxiety disappears. This is the aim of the Orthodox way of life––To put God first and seek the Holy Spirit. The anxieties of modern life are only symptoms of our separation from God.”

— Saint Paisios

"If the Son of God be within thee, then also His Kingdom is within thee. Here then  is the Kingdom of God – within thee, a sinner. Go inwards into thine self, search diligently and without toil thou shalt find it. Outside of thee – is death, and the door to it – is sin. Go inwards into thine self, dwell within thine heart, for since there – is God"

— Saint Ephrem the Syrian

« Plus que toutes choses, aime le silence; il t'apporte un fruit que la langue est impuissante à décrire. D'abord c'est nous qui nous contraignons à nous taire. Ensuite, de notre silence même naît en nous quelque chose qui nous attire au silence. Que Dieu te donne le sentiment de ce quelque chose qui naît du silence [...]. Après un temps, une certaine douceur naît dans le cœur par l'exercice de cette règle de conduite, et comme par force, le cœur se trouve entraîné à demeurer en silence [...]. Le silence est le mystère des mondes à venir, la parole est l'instrument du monde présent. »
— Saint Isaac le Syrien, Homélies

« Dans l'univers [...] chaque élément reste à sa place, retenu comme par un frein, enchainé par la volonté du Créateur qui le force à garder ses limites, et c'est ainsi que cette opposition entre les éléments procure la paix à tout l'univers. Oui, les aveugles mêmes doivent voir, les insensés doivent comprendre que ces divers éléments sont l'œuvre de la divine Providence, et que c'est elle aussi qui les contient dans leurs limites. Qui serait assez insensé, assez stupide pour ne pas se dire à la vue d'un tel ensemble, d'une si grande beauté, d'un tel arrangement, de cette lutte entre des éléments contraires qui continuent cependant à subsister. S'il n'y avait une Providence pour contenir la masse de ces corps, pour les empêcher de tomber en dissolution, non, ils ne pourraient subsister, ils ne pourraient durer longtemps. »

— Saint Jean Chrysostome, Homélies sur les statues

“Then suddenly something happened. It’s hard to explain, but I’ll try. Imagine a man standing before an infinitely huge wall, reasoning that the wall is impenetrable, with nothing behind it. And suddenly, in an instant, in some unimaginable way, the man finds himself on the other side of the wall, in a wonderful garden instead of the expected emptiness. And he turns around and can see thousands of people through the wall—eccentrics like himself who remained on the other side. He doesn’t know how he got through the wall or how to call out, how to bring the others through. Something like this happened to me. As they say, out of the blue, in a matter of moments, all my beliefs crumbled before the face of Beauty. I felt a kind of love that no one in my life could have given me; my soul became dazzlingly bright—I was experiencing a feeling of fullness. I couldn’t comprehend what had happened; I only felt reverence for everything and extraordinary peace.”

— Br. Andrei, My Third Birth

“My child, say the Jesus prayer – it will be comfort in your life. Hold it – and everything will go like clockwork.”

— Elder Ephraim of Arizona

“The essential part is to dwell in God, and this walking before God means that you live with the conviction ever before your consciousness that God is in you, as He is in everything: you live in the firm assurance that He sees all that is within you, knowing you better than you know yourself. This awareness of the eye of God looking at your inner being must not be accompanied by any visual concept, but must be confined to a simple conviction or feeling.”

— Saint Theophan the Recluse